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3 mai 2019 | Par Sylvain Rochon

La longue crue des eaux de la rivière Richelieu commence à peser lourd sur les épaules de Martin Larivière, opérateur du petit traversier entre Saint-Roch-de-Richelieu et Saint-Ours. Il y a deux semaines aujourd’hui qu’en raison du niveau élevé de la rivière le Iris Larivière ne fait plus la navette entre les deux rives. Cela cause du désagrément aux automobilistes et piétons bien sûr mais c’est aussi, pour l’opérateur et ses employés, une perte importante de revenus dont monsieur Larivière s’explique mal qu’elle ne soit pas couverte par les programmes d’aide aux sinistrés. C’est une faille sur laquelle il espère voir se pencher le gouvernement.
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