Les Polypus de l’ESFL champions!

3 juin 2004 | Par Équipe CJSO

Sorel-Tracy – Alors que la finale s’est jouée une journée plus tôt en raison de problèmes de dernières minutes, soit vendredi soir le 28 mai, les Polypus Cadets ont remporté pour la 3e année consécutive, les grands honneurs de la saison printanière de la Ligue de football scolaire « Cadet » des Cantons de l’Est, par la marque de 29 à 1 sur les Panthères de la polyvalente Jeanne-Mance de Drummondville.

« On a très bien joué en partant très fort en première demi, mentionnait l’entraîneur-chef Harold Turbide, et en 2e demi, on s’est servi de notre défensive à profusion. On rêvait d’avoir une saison vierge en défensive, c’est-à-dire en n’accordant aucun point de toute la saison, mais à un certain moment donné au cours du match, on a placé nos joueurs pour recevoir un botté court, mais l’adversaire y est allé d’un long botté jusque dans la zone des buts. C’est une erreur de coach!. », avouait bien humblement Turbide.

Mais on ne peut passer sous silence le fait que les Polypus Cadets n’aient accordé que 15 points en trois ans d’existence. Cette remarquable défensive a tout simplement été parfaite. Quant à la ligne offensive, on leur demande de faire des points et c’est exactement ce qu’ils ont fait tout au long de la saison, avec des gains par des pointages très élevés. Pour le dernier match de la saison, Philippe Duchesne et Dave Yergeau ont chacun réalisé deux touchés, au tableau des marqueurs.

Suite a de houleuses discussions avec les équipes de Drummondville, les Polypus apprenaient mardi dernier que les finales étaient annulées. Finalement, les deux parties se sont entendus pour jouer les finales vendredi soir au lieu de samedi soir, ce qui n’a pas permis d’alerter les médias locaux qui apprenaient le lendemain que tout avait été joué la veille.

Harold Turbide félicite tous les joueurs et remercie tous les parents, tout en donnant rendez-vous aux amateurs de football à l’automne prochain, alors que le juvénile évoluera dans une catégorie supérieure, c’est-à-dire le AA.

Source: Jean Doyon. STM