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Le maire Serge Péloquin s’est fait attaquer sur la gestion et l’intégrité

5 avril 2016 | Par Équipe CJSO

Le maire de Sorel-Tracy Serge Péloquin s’est retrouvé sous pression à plusieurs moments lors de la séance ordinaire d’avril du conseil municipal de la Sorel-Tracy, hier soir.

D’abord Serge Péloquin a corrigé la conseillère Sophie Chevalier, qui expliquait à nouveau sa dissidence quant à la caution de plus de 4M$ de la ville dans le dossier de l’Écomonde, en réponse à une question du public.

Une autre question est venue de Monsieur Stéphane Béland, sur le processus d’octroi des contrats en matière de matériel audio-visuel. Le citoyen laissait entendre que le fils du maire Péloquin utilisait des équipements provenant du commerce du maire, Boulevard musique. Ce dont le maire s’est défendu, invitant Monsieur Béland à démontrer des faits plutôt que de faire des accusations fausses et gratuites.

Claude Himbeault, porte-parole du groupe Citoyens et citoyennes engagé(e)s Sorel-Tracy est par la suite posé une question sur le Festival de la gibelotte. 

Le conseiller Patrick Péloquin, a tenu à préciser son point de vue sur les événements des dernières semaines entourant les parties impliquées. La conseillère Sophie Chevalier a également cédé son moment de parole lors de la période de commentaires à la fin du conseil à M. Patrick Péloquin puisque tous deux, dit-elle, avaient des opinions très similaires.

Certains conseillers ont également donné leur avis sur la question. Pour sa part, M. Alain Maher a précisé qu’il n’était pas au conseil pour faire un spectacle, contrairement à certains. 

Mme. Dominique Ouellette n’a pas émis de commentaire sur le dossier.

Jocelyn Mondou, du district du Vieux Sorel où se dérouleront les festivités, précise que la fête aura lieu au centre-ville, et qu’il était prêt à s’impliquer pour faire du tout une réussite. Il ajoute qu’il est convaincu que ce sera une belle fête; il invite également Yves Allard, Jean-Christian Clément, et toute personne intéressée à se greffer afin de travailler ensemble, à une fête où les profits serviront à éponger une certaine dette.

Benoît Guèvremont a ajouté que le conseil se créait un autre festival, le festival du règlement de compte, puisqu’il n’aimait pas la tournure que prenait le conseil. Il ne tenait pas à choisir un camp et a avoué qu’il était à l’écoute de la population de son district et qu’il travaillait plutôt hors-séance aux demandes de ses concitoyens.

Et finalement, André Potvin de son côté, a précisé que si le maire et ses collègues avaient besoin de son aide pour organiser quoi que ce soit et s’impliquer, il était disponible à 100%.

Écoutez notre montage résumé de cette séance:

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