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James Morgan se présente contre Bibeau et Lajeunesse dans Saint-Laurent

10 septembre 2013 | Par Équipe CJSO

James Morgan confirme qu’il sera candidat dans le quartier Saint-Laurent (#3) lors des élections de novembre prochain. Il sera opposé à Martin Lajeunesse, du Parti d’aujourd’hui et Yvon Bibeau, qui avait remporté ce siège en 2009, avec 71% des votes, contre Jules Pelletier.

Dans son annonce officielle, Morgan souhaite aux Sorelois «qu’en ces jours de festivité entourant leur 375 ième anniversaire nous dépassions les bulles et le champagne en unissant toutes ses bonnes intentions politiques, éthiques et démocratiques sous un même texte guide. Ainsi, la charte de la ville de Sorel-Tracy deviendrait le tuteur patrimonial qui unirait les générations et notre histoire autour d’une déclaration écrite de nos aspirations.»

Si le nouveau candidat se positionne pour Serge Péloquin à la Mairie, il reconnait l’implication de Michèle Lacombe-Gauthier auprès des familles soreloises et soutient que c’est elle qui l’a convaincu de faire le saut en politique active. Il a également de bons mots pour Corina Bastiani qui, selon lui, «incarne le réveil politique de ma génération prostrée dans l’impuissance et le cynisme. Aujourd’hui, elle peut être fière de cette jeunesse qui se meut, se regroupe et s’implique pour faire reconnaitre son devenir.»

«Ma sensibilité intellectuelle, écrit-il, me dicte autre chose». Pour justifier son appui à Serge Péloquin, il le décrit comme quelqu’un qui, peut rejoindre les écolos, les hommes d’affaires et les artistes, qui aboutit et achève tout ce qu’il touche et qui pourrait incarner l’espoir, le rêve, le changement et l’«ultraefficacité».

Voici le communiqué émis hier par James Morgan :
9 Septembre 2013 – La présente a pour objet de briser un secret de Polichinelle. Moi, James Morgan, déclare devant les instances médiatiques soreloises qu’à la prochaine élection municipale, je serai candidat indépendant au poste de conseiller municipal du district III ; St-Laurent, Ville de Sorel-Tracy.

MES MOTIVATIONS

Mes motivations sont nullement le reflet d’une évaluation négative du travail ayant été fait par mes prédécesseurs, ainsi le siège de gérant d’estrade ne m’intéresse en rien. Par contre, ces mots parfaitement exprimés par Antoine de Saint-Exupéry, «c’est de sentir, en posant sa pierre, que l’on contribue à bâtir le monde», sont le reflet du sentiment qui anime ma candidature. Un sentiment que je souhaiterais partager avec mes électeurs.

MON HISTORIQUE EN CHIFFRES

+ de 30 ans comme résident du district St-Laurent.
+ de 15 ans d’implications professionnelles auprès des familles soreloises à titre d’éducateur en garderie et conseiller pédagogique.
+ de 10 ans d’expérience comme gestionnaire de fonds publics en tant qu’adjoint administrateur et chargé de projet du C.P.E. Danahé.

VISIONS SOCIO-ÉCONOMIQUES 

Je me présente à vous comme un gestionnaire-éthique pour qui qualité de service rime avec qualité de vie et c’est en ce sens que je m’oppose formellement à tous recours à la sous-traitance comme rhétorique administrative. Tout comme je résisterai aux signes d’une modernité économique morose qui menaceront l’expansion de notre richesse collective. Je suis de ceux qui croient que l’engagement éthique de la ville de Sorel-Tracy envers son personnel est le facteur le plus fiable à long terme, celui le plus en mesure d’engendrer un engagement qualité de ceux-ci envers les citoyens et citoyennes de notre ville.

VISIONS ÉCONOMIQUES 

Sorel-Tracy doit s’engager immédiatement dans l’économie de demain en privilégiant une gestion de ces parcs industriels qui favoriserait l’implantation de projet relatifs à l’électrification des moyens de transport et les nanotechnologies. Ces deux champs prolifiques de l’économie moderne cadrent parfaitement avec les ressources naturelles du Québec et peuvent facilement s’intégrer à nos facilitant économique à nous ; les voies maritimes, une main d’oeuvre motivée et des espaces industrielles à combler.

VISIONS DÉMOCRATIQUES

Je travaillerai pour et avec le maire que vous aurez choisi. Ceci étant dit, en bon démocrate, je suis encore aujourd’hui extrêmement d’accord avec René Lévesque qui qualifia notre mode de scrutin électoral de «démocratiquement infect». C’est d’ailleurs la raison majeure pour laquelle je me présente à vous comme indépendant, parce que j’ai fait le serment que je n’appuierai jamais aucune formation politique qui n’endosserait pas l’implacable élégance intellectuelle d’un mode de scrutin avec une constituante de proportionnalité. J’entends par ce remodelage des scrutins une lecture de l’intention exprimée par les électeurs, le jour du vote, hautement fidèle dans sa représentation au conseil de ville.

Sorel-Tracy, depuis sa récente identité fusionnée, s’est savamment engagé auprès de ses employés, de ses citoyens, des citoyens du Québec, du monde et de la planète à faire un monde meilleur. De ces différentes ratifications et choix de développement s’est dégagée une forme d’identité publique et politique. Or, ce que je souhaite aux Sorelois c’est qu’en ces jours de festivité entourant leur 375 ième anniversaire nous dépassions les bulles et le champagne en unissant toutes ses bonnes intentions politiques, éthiques et démocratiques sous un même texte guide. Ainsi, la charte de la ville de Sorel-Tracy deviendrait le tuteur patrimonial qui unirait les générations et notre histoire autour d’une déclaration écrite de nos aspirations.

À LA MAIRIE… 

Bien sûr, je suis naturellement lié à Michèle Lacombe-Gauthier, qui comme moi s’est impliquée activement auprès des familles soreloises depuis 17 ans. D’autant plus que je respecte sa séniorité et le fait est qu’elle m’a convaincu de faire le saut en politique active.

Bien sûr, je suis également naturellement lié à Corina Bastiani qui incarne le réveil politique de ma génération prostrée dans l’impuissance et le cynisme. Aujourd’hui, elle peut être fière de cette jeunesse qui se meut, se regroupe et s’implique pour faire reconnaitre son devenir.

Mais ma sensibilité intellectuelle me dicte autre chose. Comment nommer quelqu’un qui, lorsqu’il tend les bras, peut rejoindre dans la même étreinte les écolos, les hommes d’affaires et les artistes? Comment nommer quelqu’un qui aboutit et achève tout ce qu’il touche? Comment nommer quelqu’un qui pourrait incarner l’espoir, le rêve, le changement et l’ultraefficacité? Et si on le nommait ainsi : Serge Péloquin, maire de Sorel-Tracy.

Cordialement vôtre,
James Morgan
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