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10 avril 2019 | Par Sylvain Rochon

L’ex-député de Richelieu à l’Assemblée nationale Albert Khelfa exprime son désaccord avec le retrait du crucifix du Salon bleu. Monsieur Khelfa qui a siégé au Parlement à Québec de 1985 à 1994 estime que ce crucifix constitue à la fois une pièce de notre patrimoine et un rappel de notre histoire. Son retrait prévu le jour de l’adoption de la Loi sur la laïcité de l’État lui donne l’impression qu’il s’agit d’une monnaie d’échange pour mieux faire passer l’interdiction qui frappera un certain nombre de professionnels de la fonction publique comme les enseignants d’afficher leur religion.
Monsieur Khelfa a fait part de son désagrément de voir le crucifix quitter le Salon bleu dans le cadre de l’émission La tribune présentée hier midi sur nos ondes. Des points de vue tout autre s’y sont exprimés, notamment celui de Suzanne Lalande qui, à l’inverse de l’ex-député, applaudit ce départ du crucifix.
Son de cloche similaire de René Lachapelle, autre panelliste de La Tribune d’hier midi. Bien que catholique pratiquant, il ne trouve aucune justification à conserver le crucifix là où un État laïque votent ses lois.
Prêtre modérateur des paroisses de Sorel-Tracy, le chanoine Gérald Ouellette ne fait pas d’avantage un plat de ce déménagement. Bien que, rappelle-t-il, la croix fasse partie depuis les touts débuts de l’histoire de la Nouvelle-France.
On peut voir ou revoir intégralement l’édition de la tribune consacrée à la laïcité de l’État sur notre page facebook.
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