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11 janvier 2019 | Par Sylvain Rochon
À quelques jours de la date butoir pour l’enregistrement des armes à feu, plusieurs amateurs de chasse n’ont toujours pas obéi à la législation. Ici comme ailleurs, confie Gilles Marcotte, de l’Association des chasseurs et pêcheurs de Sainte-Anne-de-Sorel, nombreux sont ceux qui estiment ce registre superflu. Deuxième reproche qu’ils lui adressent : celui de créer un faux sentiment de sécurité. Selon monsieur Marcotte, on devrait investir les sommes qu’on s’apprête à dépenser inutilement dans la constitution de ce registre dans le domaine de la santé mentale.
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